Bio? J'essaie d'en consommer autant que possible... et local surtout, ce qui est embêtant quand on raffole des mangues et des avocats. Pardon ? Ce n'est pas ça que vous vouliez savoir? Bon, bon allons-y !
Avant de passer une pleine année à réécrire et réééééécrire Eternelle (livre commencé en 2008: j'aurais peut-être dû choisir un autre titre !), j'ai fait vivre pendant sept ans Déclics et Cie, une boîte d'événementiel organisant en Suisse francophone des rencontres inspirantes, aujourd'hui confiée à une vaillante nouvelle équipe.
Avant cela, j'ai essayé de rentrer dans le moule, mais des bouts dépassaient toujours...
En 2004, j'ai été engagée comme responsable des relations média à SIG, une entreprise chaleureuse alimentant Genève en eau, gaz, électricité, chauffage et la débarrassant plus ou moins écologiquement de ses déchets. Résultat: un burn-out qui m'a jetée sur les Chemins de Compostelle au printemps-été 2008.
De 1996 à 2004, journaliste à la RTS (la radio-TV suisse). Une enquête-reportage diffusée en 2002 a conduit un éditeur à me proposer d'en faire un livre: Voyage au Pays de l'Echangisme, paru en 2003). Pourquoi alors avoir passé à l'auto-édition pour ce nouveau bébé, ça, vous le trouverez ici, sur le blog.
Les vingt années précédentes se sont passées à co-fonder des Café-théâtres, créer un théâtre d'entreprise, rédiger en libre (déjà) des chroniques d'humeur pour différents journaux, dont le Journal Ricanant de Criss (GHI) et Déclic (Construire). Auparavant, il y eut quelques grands voyages, notamment dans une Chine qui venait de s'ouvrir au tourisme individuel.
Il y eut aussi quelques études (Master en géographie) et beaucoup d'histoires d'amour et d'amitié. Dépressive et hypersensible depuis toute môme, je me soigne toujours à grandes lampées d'optimisme et carrés de chocolat. Indigo oui, sans doute, surdouée, sûrement pas, d'autant que les étiquettes ne me collent jamais longtemps au front. Ma carotte de toujours? Une puissante quête existentielle qui me conduit à explorer les sujets les plus tabous et m'inspirer des pionniers de la conscience les plus irrévérencieux,merci à eux (cf Sources et Ressources).
Comme tous les premiers romans, Eternelle n'est absolument pas autobiographique (!) et toute ressemblance avec des personnages existants dans un espace-temps ou l'autre n'est que peu fortuite.